samedi 27 octobre 2012

Vacances de la Toussaint 2012


Cette année, c'est deux semaines complètes que les enfants ont comme congés pour les vacances de la Toussaint.
Je vais moi aussi en profiter un peu pour être un peu plus encore avec ma petite famille et donc forcément beaucoup moins sur Internet (voir même pas du tout) !
Silence donc sur ce blog également, mais c'est pour mieux revenir par la suite...

mardi 16 octobre 2012

Vachement zen


Je suis un gros paquet de nerfs qui tente de rester bien sagement en pelote au lieu d'exploser à la face du monde.
Pour ce faire, j'avale avec la régularité d'un métronome mes cachets roses, je ne regarde pas les journaux télévisés, à peine si je jette un oeil sur l'actualité dans le monde, je reste dans ma bulle le plus possible et ne met un orteil dehors, dans la foule hostile, que lorsque j'y suis contrainte et forcée, je me mets au vert dès que cela est possible, je fais un peu de sport quand mon corps m'en donne l'autorisation , etc...
Avec tout cela, on ne déplore pour l'instant aucune mort violente, ni blessés graves dans mon entourage. La population qui croise ma route est relativement tranquille, bref, c'est le calme plat dans les alpages.

J'arrive à une réelle maîtrise de moi-même et j'en suis fière !
Sauf quand je commence à me faire presque peur...

Ce midi, mon mari rentre en trombe pour avaler un déjeuner. A peine 45 minutes de pause avant d'enchainer avec des réunions toutes plus importantes les unes que les autres. 45 minutes étant un temps de pause assez moyen pour lui. On a connu souvent plus court et rarement plus long.
Pour pallier au stress, on se met toujours d'accord sur son heure d'arrivée à table le matin même, voir on ajuste durant la matinée. On est des pros et quand il passe le pas de la porte, la table est mise, le repas est servi chaud ou froid (selon les plats) dans les assiettes. Il n'a plus qu'à passer les pieds sous la table. Il peut profiter donc plus sereinement de sa pause même toute petite.
Sauf que là, il s'est bloqué les voies aériennes. Bon cela lui arrive de temps en temps et en général, cela ne dure que quelques secondes. Sauf que cette fois, ce fut de pire en pire. Il a essayé tous les petits trucs qu'il connait et qui fonctionne avec lui (grand gabarit, mais faible capacité respiratoire).
Croyez-vous que j'ai paniqué en voyant mon mari devenir blanc, puis bleu ? Non, rien, de marbre avec quand même tous les gestes de soutien, l'aide que je pouvais lui apporter. Ma gestuelles était précise, lente pour être là où il le fallait, mais pas un tremblement. J'étais méthodique à l'extrême.
Je vous rassure tout est rentré dans l'ordre après 30 minutes (il a retrouvé un semblant de couleur normale et une respiration presque fluide). Je reste en contact permanent avec lui par sms. Je suis un peu son assistance...

Mais franchement, c'est dingue de ne pas paniquer ?
J'ai déjà remarqué que j'étais tout le temps comme cela quand mes filles s'ouvraient un genou ou autre, même lorsque cela aurait pu être très grave.
Quand je suis témoin d'un accident (par exemple une voiture qui a éclatée un pneu devant moi sur l'autoroute à 130 km/h et qui a traversée 2 fois les voies de circulation avant de stopper brutalement dans le rail de sécurité), je mets mon véhicule en sécurité, mes passagers, m'arme de mon téléphone portable, fait le tour du sinistre, prend des nouvelles des passagers et appelle les secours en donnant le plus possibles de données dans l'ordre de priorité. Je sécurise avec les non blessés la zone et attends que les secours arrivent. Je laisse mes coordonnées et repars. Pour la petite histoire, ce fait m'est arrivé en juin 2004 en me rendant à l'hôpital d'Aix en Provence pour subir un examen médical. La seule blessée s'en est sortie avec des côtés cassées, un trauma crânien heureusement sans trop de dommage et une épaule douloureuse. Elle m'a appelé plusieurs jours après pour me remercier de ma présence et de mes initiatives.

Mais pourquoi suis-je ainsi alors que je suis une ultra-nerveuse ?
Mystère, mais j'ai dû être chat un jour... Ou alors je suis un monstre....


ou



lundi 15 octobre 2012

Je vais apprendre à marcher sur les mains


On est lundi, ce n'est déjà pas si facile de se motiver, mais si en plus, il tombe des trombes d'eau... Pffffff

Découragée, mais obligée de sortir, je me décide pour une bonne paire de bottines en cuir pour garder un moment mes petons au chaud et au sec. Je suis sereine en partant de chez moi, ce n'est pas la première fois que je les mets, je les ressors régulièrement chaque automne.
Enfin oui, mais là, ce fut le drame !

A peine arrivée à l'école (un peu moins de 2 km), je n'arrive plus à faire un pas tellement j'ai l'avant du pied gauche qui me brûle. Je regarde, rien de suspect dans la chaussure, pas de problème avec la chaussette, mais alors une peau à vif qui explique très aisément la douleur.
Ok, je vais serrer les dents et rentrer clopin-clipant.

Une fois à la maison, non seulement j'aurai tuer un ours à mains nues tellement j'avais mal aux 2 pieds cette fois, mais là je pense que je vais devoir aller chercher mes filles ce soir à l'école en marchant sur les mains car je ne vois pas comment cela va être possible autrement. Mes pieds ne supportent plus rien !!!! Pas le moindre effleurement....
ça va être pratique !!!!

Inutile de vous dire que ma paire de bottines a disparu très vite de ma vue et ce de manière définitive.

vendredi 12 octobre 2012

Je me hâte lentement


De nos jours, tout va de plus en plus vite et nous le plus souvent, on se retrouve un peu dépassé par les évènements. On n'a qu'une envie, c'est de lever un peu le pied.
Oui, on se le dit au moins une fois par jour. On voudrait bien ralentir, prendre plus le temps, ne plus courir dans tous les sens. D'ailleurs si on continue, c'est bien simple soit on va devenir fou, soit on va littéralement exploser en plein vol !

On est tel le lapin dans Alice aux pays des merveilles, on possède un chrono dans la tête et on essaie de ne pas laisser filer les secondes, les minutes, les heures, les jours...
A ce petit jeu là, on est forcément perdant. On y laisse même des plumes. Le stresse est devenu la troisième cause de mortalité dans les maladies cardio-vasculaires (devant on trouve le tabac et le cholestérol, mais quand on sait que lorsque l'on est stressé, on a tendance à plus fumer et à manger de la junk food, c'est du pareil au même quoi !!!).

Donc on souhaiterait ralentir un peu, mais pourtant on reste accro à la vitesse.
Vous vous verriez revenir en arrière avec des trains qui mettent 6 ou 8 heures pour relier Marseille-Paris ? J'en doute un peu même si avec certains incidents techniques cela peut nous arriver.
Bref, on a envie de se hâter lentement car oui, il existe en réalité un good slow (manger en paix et en prenant le temps de bien mâcher, faire une petite sieste pour mieux repartir au boulot ensuite, être concentré sur ce que l'on fait et donc faire de courtes pauses régulièrement en s'étirant par exemple...) et le bad slow (attendre des heures dans un service des urgences).

L'adrénaline, on y devient vite accro, mais c'est comme tout, elle est à consommer avec modération sinon votre coeur n'y survivra pas et vous non plus du même coup.
Il faut vivre les choses, les ressentir, mais sans panique.
Il faut extraire l'essentiel, le vital et l'approfondir.

Bref, on est à ce que l'on fait, on est donc plus efficace et on abat le travail à faire. Après, à l'impossible nul n'est tenu. Et il vaut toujours mieux faire bien les choses que vouloir en faire trop et mal.
On n'est pas parfait, mais on peut s'améliorer, progresser. Nos capacités sont immenses et trop souvent inexploitées.
Et puis n'oublions pas de faire des coupures pour trouver son propre rythme. Il est différent pour chaque individu, mais le respecter est gage de performance et de mieux être.




jeudi 11 octobre 2012

Retour aux sources ma fille


La crise, on est tous dedans de grès ou de force. Et comme toujours, ceux qui paient le prix fort, ce ne sont pas les plus fortunés. On le sait bien que les riches sont plus riches encore  et que les pauvres n'ont vraiment plus que leurs yeux pour pleurer.  Rien de bien neuf encore une fois...

On a beau tenter d'oublier le chômage, les politiques d'austérité, les chiffres qui ne sont jamais bon pour notre pomme, la réalité se rappelle bien vite à nous. Il y a le loyer à payer, la nourriture à acheter, bref, il faut bien vivre.
On devient prêt à tout, même à suivre une formation pour exercer le plus vieux métier du monde.
Oui, vous avez bien lu, il est possible de se former pour arpenter le trottoir et gagner son pain quotidien en échange de quelques faveurs sexuelles. Cela se passe à Valence (en Espagne).

Les lois floues entretiennent l'ambiguité et tous les abus.
Quelle sera la prochaine étape vers ce retour aux sources qui est tout sauf un progrès ? Les femmes vont encore payer un lourd tribu, des mineurs aussi certainement et tout cela pourquoi ? Les fluctuations des bourses (sans mauvais jeu de mots), les spéculations et les jeux dangereux vont encore faire beaucoup de victimes collatérales...


mercredi 10 octobre 2012

Les hormones, ça rend stupide ?


Je lisais tranquillement un magazine quand je tombe sur un article qui m'a fait lâché un juron (oui, cela m'arrive très souvent même, mais promis je fais des efforts sur la Toile pour bien me tenir).
Il parait qu'aux Etats-Unis il existe un concours de miss pour femmes enceintes. Cela se déroule au Texas plus précisément. D'ailleurs que ce soit cet état ne me surprend pas vraiment cette fois . Là-bas, ils détiennent le pompon pour les idées à la noix !!!!!

Bon que l'on veuille mettre en valeur le corps de la femme portant un enfant, pourquoi pas. Je trouve très belle les femmes enceintes, même si on n'est pas toutes égales car certaines "dégustent" bien durant ces quelques mois.
Ahhhh les inégalités génétiques !!!!!!

Et puis en théorie, durant cette période, on n'a pas vraiment envie de faire de la compétition, je veux dire par là, pas envie d'être encore la meilleure en ceci ou bien cela, la plus performante, la plus mieux bien que toutes les autres !!!! En général, on se caresse assez béatement le bidon, on rêve un peu, on grimace aussi parce le dos en prend un sacré coup et j'en passe.
On essaie de se projeter un peu, d'imaginer les changements de notre vie avec bébé.
On essaie aussi de préparer la venue de ce petit être...
Bref, on a bien autre chose à faire qu'à défiler en bikini, déshabiller et rhabiller une poupée, lui mettre une couche... devant un public en délire !!!

La grossesse, c'est un moment privilégié pour la femme, enfin quand elle est souhaitée, que tout se passe au mieux etc. On essaie de prendre soin de soi, on veut se chouchouter un peu même si ce n'est pas facile facile. Durant le dernier trimestre, se mettre du vernis sur les orteils demande par exemple une souplesse de  gymnaste médaillée aux derniers J.O. Alors vouloir faire le grand écart à 8 mois passés, c'est de la folie !!! C'est clair, les hormones nous ont bouffé ce qui restait de cervelle !!!!!
Je parle pour cette candidate et ses consoeurs...



Etre enceinte n'est pas une maladie, mais on n'en est pas moins un peu différente d'ordinaire alors pourquoi vouloir nier l'évidence ?
Je crois que la bêtise n'a pas de limite en ce bas monde...

vendredi 5 octobre 2012

Poison quotidien encore et toujours


Déjà qu'on ne sait plus trop ce que l'on respire, il faut se méfier plus que jamais de ce que l'on avale.
Rien de bien nouveau sous le soleil, mais il n'y a pas si longtemps, il a enfin été prouvé scientifiquement que manger des aliments génétiquement modifiés n'était pas sans risque, loin de là ! (Voir les publications sur l'étude de Gilles-Eric Séralini rendue publique le 19 septembre dernier et que l'on trouve un peu partout sur la Toile)

Il est évident que depuis l'apparition des OGM, je m'en suis tenue aussi éloignée que cela m'était possible, mais comme toujours, on fait ce qu'on peut avec les moyens du bord. Force est de constater que les miens et ceux des autres français ne sont rien en comparaison des lobby.
Car oui, on fuit bien les OGM, mais eux, ils nous rattrapent sans peine.

Pour le cas de la France, il existe bien un moratoire sur l'exploitation et la culture des OGM, mais leur importation pour l'alimentation animal (l'élevage par exemple) est autorisée. Même chose pour les humains (j'ai plus faim du coup). On finit donc par trouver des résidus d'OGM (ainsi que des pesticides, miam miam) un peu partout dans les produits d'origine animale, dans les produits alimentaires en général et surtout dans la plupart des nappes phréatiques de notre territoire. Chic, on est presque tous égaux pour le coup.

Cela me fait froid dans le dos, même si encore une fois, je ne suis pas réellement surprise. Il y a bien longtemps que j'ai quitté le pays des Bisounours.
Encore que, on pourrait plutôt dire que notre monde est encore peuplé de Bisounours, mais qui ressembleraient plus à ceci :


Bon sur ces bonnes paroles, je m'en vais boire un bon verre d'eau pleine de poison divers et respirer ma dose quotidienne de particules fines dans ce paysage magnifique envahis par le tourisme de masse...

jeudi 4 octobre 2012

Manga Girl

Fukkacumi

Il y a quelques temps déjà, j'avais rédigé un article sur une jeune femme qui voulait devenir Barbie pour de vrai. Et me revoilà en train d'écrire un nouveau billet sur une autre jeune fille qui elle souhaite devenir semblable à ces héroïnes de manga ou de japanime (dessin animé).
Elle a 19 ans et se nomme Anastasiya Shpagina (son pseudo est Fukkacumi et on peut la retrouver sur YouTube par exemple ou sur son profil Facebook). Elle toute la vie devant elle et pourtant. 
Et ce n'est pas sa meilleure amie (la Barbie Girl) qui va l'aider à se sortir ces folles idées de la tête. 

Fukkacumi et Barbie Girl  

J'avoue être perplexe car même si j'aime voir ce que peut donner les Cosplay (dans les conventions, certains participants vont concourir pour élire celui, celle ou le groupe qui ressemble le plus à leur héros), cela doit rester des costumes et un peu / beaucoup de maquillage. L'être humain ne possède pas les même proportions que nos héros imaginaires. C'est ainsi même si on peut les trouver très seyants. Ils sont fictifs. 

Une cosplayeuse 

Voir des jeunes femmes se complairent dans ces quêtes impossibles, se mettre en danger pour toucher au plus près leur objectif (les opérations esthétiques ne sont pas sans risques), me désole.
Je prends aussi conscience que le vide dans leur existence qu'elles doivent ressentir est insondable. Sans doute ne se reconnaissent-elles pas dans notre monde, dans cette société qui nous entoure, mais là, c'est aller trop loin. Elles expriment une souffrance (peut importe au fond laquelle, celle-ci est réelle contrairement à leurs idoles) et personne n'est en mesure d'y apporter un peu de soulagement. On est encore une fois trop dans l'image, le paraître, les chimères... On s'y perd si nos repères dans la vie réelle ne sont pas assez solides.
Génération désenchantée for ever...

mercredi 3 octobre 2012

Au-delà de la polémique, il y a juste la sagesse

Diam's, l'artiste.

Je n'ai jamais apprécié le rap comme style de musique, mais bon, il faut vivre avec son époque et donc on ne peut pas se fermer au monde, à ce qui se passe autour de nous.

Diam's, c'est le nom de scène d'une jeune femme qui a fait beaucoup pour le rap, mais aussi pour la femme. Avec ses textes écrits avec ses tripes comme on dit, elle a trouvé un public qui s'est reconnu dans ses doutes, ses interrogations, sa colère, ses envies...
On aimait ou pas.

Et puis un jour, on a découvert par le biais de photos volées que l'artiste s'était convertie à l'Islam. C'est sa liberté après tout, elle fait ce qu'elle veut dans sa vie privée et sur le plan spirituel. Cela ne nous regarde pas en fait.
Mais la polémique n'a fait qu'enfler parce qu'elle est apparue voilée ! Gros choc pour tout le monde (sauf pour moi, je trouvais que c'était sa vie privée encore une fois).

La presse s'est déchainée, n'hésitant pas à la prendre pour cible, à stigmatiser ce qui n'avait sans doute pas lieu d'être. On s'est mis à avoir peur de la réaction de ses fans, de l'intégrisme, des fanatiques en oubliant un peu vite que beaucoup, pour ne pas dire la majorité des musulmans sont très bien intégrés, vivent comme vous et moi, juste avec quelques nuances dans leur culture, mais c'est aussi ça le mélange, le partage des différences.
On a tapé sans chercher à comprendre. On a vu l'image et on a eu peur.

Dans notre société actuelle, dominée par les images, les vidéos, par le paraître, les chimères en réalité, on oublie de réfléchir, d'apprendre, de comprendre.

Mélanie (Diam's) s'est convertie. Et alors ?
Mélanie n'allait pas bien. Elle montrait à son public, aux gens une image fausse d'elle-même. Là, déjà c'est plus grave.
Mélanie a failli en mourir. Cette fois, on a frôlé la catastrophe (pour elle-même et pour les siens surtout).
Mélanie a fini par trouver la paix, le bonheur et n'en demande pas plus. Elle a grandi, muri, fait des choix et elle devrait rendre des comptes parce qu'on est ignorant et intolérant ? C'est un peu gros non ?!

La question du voile est très sensible.
Chacun possède son avis, son intime conviction. Je n'échappe pas à la règle, mais par curiosité intellectuelle, j'ai voulu savoir, tenter de comprendre un tel revirement puisqu'elle acceptait d'en parler. On apprend tous les jours, je ne perdais au pire qu'un peu de temps en regardant cette interview.

Franchement, c'est une belle leçon de tolérance que nous donne Mélanie et de sagesse aussi.
J'avoue que je me range à ses idées (pas sa foi, elle n'essaie d'ailleurs surtout pas de nous convertir, c'est de la sphère privée la croyance en Dieu).
Elle n'est absolument pas dans la provocation comme peuvent l'être certaines. Elle est enfin elle-même, épanouie et heureuse. Je lui souhaite qu'il en soit toujours ainsi.

Diam's, la femme d'aujourd'hui.

Et si on utilisait un peu plus notre cervelle ? 
Et si on écoutait un peu plus son coeur ?
Et si on ne s'arrêtait plus aux apparences ?
Et si on arrêtait de jalouser les autres ? 
Et si on se remettait un peu en cause ?
Et si on n'était plus de simples moutons ?
Et si.... 


mardi 2 octobre 2012

C'est moi qui l'ai faite !


Vous vous demandez bien ce que j'ai encore pu faire ? Vous avez raison car avec moi tout est possible, même le plus improbable !

Cette fois, je veux parler de quelque chose qui n'est pas nouveau... Qui a presque 10 ans d'âge, mais dont je suis particulièrement fière.
D'ailleurs en disant quelque chose, je vous mens et je lui manque de respect car il s'agit d'une personne. Il s'agit de ma Pestouille, 1ère du nom.

La voici en version duo avec une camarade de classe pour une poésie pas si facile à apprendre (j'ai essayé et c'est un excellent exercice de mémoire).
Le réalisateur est le directeur de l'école qui ne se lasse jamais de prendre les élèves en photo ou en vidéo à la moindre occasion pour alimenter le site de son établissement et  pour montrer aux parents ce qui se fait dans son école, toutes classes confondues. J'aime assez ce procédé qui implique plus les parents justement, enfin en théorie.




Dommage qu'elle se soit un peu crispée (ma Pestouille) car j'ai vu les filles répéter à la maison et c'était un peu plus fluide. Mais qu'importe, je suis fière des deux puces et plus particulièrement de la mienne parce que c'est moi qui l'ai faite ! (Et là je ne mens pas)

lundi 1 octobre 2012

Je suis une warrior


Quelques jours de silence sur ce blog car la vie est une chienne (euh, oui je me lâche un peu sur ce coup) et suite à la disparition d'un proche, j'avoue que j'avais d'autres chats à fouetter (c'est juste une expression, mes fauves ou tout autres fauves de salon vont très bien) que de venir bloguer.  D'ailleurs, je n'étais pas souvent chez moi.

Mais comme la vie continue, je reprends du poil de la bête (non je n'ai épiler aucun animal) et comme toute warrior qui se respecte, je reviens, je remonte la pente et voilà !

Et puis avec mes amis et ma famille, on va être encore plus en forme que ces papy là !!!!! Si, si !!!!
Attention, on bouge et donc ça déménage car on va pas se laisser abattre !!!!!!!